Coaching et déontologie
Historique et fondements de la révision du code de déontologie
Langue et déontologie sont des liens solidaires
En 2002, François-Noël TISSOT est invité à la fondation de la première commission déontologie francophone de l'ICF, par la première dépositaire du Chapitre France, Pascale PELLETIER.
Il soutient la constitution d'une commission déontologie francophone à laquelle puissent se rapporter, dans leur langue de travail, tous les coachs francophones de l'ICF, et leurs Clients, où qu'ils résident.
Il invite le Board de la Fédération internationale de coachs (ICF) à engager un dispositif de révision collective pour chacune des langues de travail de ses adhérents.
Dans Faire société : déontologie et identité, il expose l'intérêt qu'il y voit pour une organisation professionnelle émergente.
Un nouveau code de déontologie
Le 22 janvier 2005, l'ICF approuve un nouveau code de déontologie, promulgué le 8 mars, en anglais seulement.
Le lendemain, François-Noël Tissot en propose une expression francophone, en conformité avec les principes de révision établis un an plus tôt.
Les coachs francophones de l'ICF, établis dans 27 pays, sont invités à réviser l'expression francophone du nouveau code de déontologie, à l'occasion de la Journée internationale de la francophonie et de la diversité pour une société plurielle et solidaire.
Cette initiative, conçue et pilotée par François-Noël Tissot, est réalisée avec le soutien de Jean-Pierre BEKIER, capitaine du chapitre de Montréal, et le relais du chapitre France qui reprend à cet effet un article, Faire société : organisation globale et déontologie, publié le 22 février 2005 par Coachs & Vous, la revue électronique de Coaching Avenue, portail francophone du coaching.
La Fédération internationale de coachs promulgue l'expression francophone de son code de déontologie le 3 juin 2005, ave le soutien de Diane BRENNAN et de Christine MARTIN, VPs.
Un dispositif de révision commun
Le 5 décembre 2003, François-Noël Tissot propose une première expression francophone du code de déontologie de la Fédération internationale de coachs (ICF).
Il constate que les chapitres francophones utilisent des expressions très diversifiées de la déontologie et les invite à une révision commune.
Odile DOLLE se joint à lui pour arrêter les principes de révision, le 15 février 2004, et engager une première révision.
Au printemps 2004, les chapitres francophones de Belgique, de France et de Montréal valident le principe d'une révision commune de l'expression francophone de leur code de déontologie.
Ils nomment chacun un correspondant chargés d'en assurer le relais : Françoise SFAX en Belgique, Pierre MICOUD-TERRAUD en France, Louise DANSEREAU à Montréal.
Les chapitres et le code de déontologie
Début mai 2006, les sites des chapitres francophones font apparaître le code de déontologie de la
Fédération internationale de coachs (ICF) :
• soit sous une forme périmée, c'est le cas de la Belgique et de la France,
• soit sous une forme périmée et fantaisiste, c'est le cas de la Suisse,
• soit le sujet n'apparaît pas, c'est le cas de Montréal.
Une commission déontologie francophone
Le projet auquel invite François-Noël Tissot : une commission déontologie francophone à laquelle pourraient prendre part et se référer tout coach de l'ICF, et ses clients, dans leur langue de travail, où qu'ils résident dans le monde.
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