La pensée, le langage et l'ADN
La pensée, le langage et l'ADN
Edgar MORIN et Jacques FRADIN pressentent la fécondité d'un rapprochement entre neurosciences et complexité en vue d'éclairer nos représentations.
Jean-Louis PRATA rapporte cette hypothèse que je partage, et que je propose d'étayer de mon propre cheminement.
En tant que linguiste, j'avais interrogé, dans le cadre de l'universtié Denis Diderot (Paris VII), un rapprochement entre structure du langage et modalités de construction de l'ADN.
J'en formais l'hypothèse qu'il nous était difficle de concevoir autrement que de la façon dont notre ADN nous le permet.
Et que cela restreindrait même notre capacité à nous représenter d'autres formes possibles de constructions.
Ce qui poserait une limite à notre observation de nous-mêmes et de ce qui nous entoure, ainsi qu'à notre capacité à communiquer avec d'éventuelles civilisations extra-terrestres, si elles devaient relever d'une autre genèse.
En tant que conseil en identité, l'expérience m'a permis de poser pour premier principe d'identité que "L'on ne produit que ce que l'on est".
J'y trouve un appui utile dans la construction de stratégies de transformation, personnelle ou sociale, vers une plus grande efficacité, une plus forte économie de moyens et un moindre stress sur les personnes impactées.
En appui au rapprochement entre organisations, je constate les freins qui relèvent des écarts dans la genèse : les découvrir libère de formidables leviers.
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