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FAIRE SOCIETE : coopération, intégration, construction d'identité
1 janvier 1998

Tests

Bilan de personnalité : http://www.mareussite.com/conseil_bilan.asp


Accès MMJ : http://www.expression-coaching.com/pages/abonnement/menuabonnes.html

Stress : http://www.msh-expathealth.com/f/health_pubs_f/health_f/fhealth3.html

Test de personnalité MBTI en anglais : http://www.humanmetrics.com/cgi-win/JTypes2.asp

Test de personnalité MBTI : http://samuel.boury.free.fr/mbti/formulaire.html

Recherche emploi : http://www.grandesecoles.com/appLogic/net.app/maga/

Gérard LELARGE" Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, que proposer aux quinquas ?"

Gérard LELARGE est Responsable de projets au sein de la DRH du Crédit Lyonnais, une entreprise qui a depuis longtemps travaillé sur les RV de carrière et la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences.

Il assure également des enseignements de management et de Ressources humaines à l'Université (Paris V René Descartes et Paris X Nanterre) ainsi qu'à l'ESC de Lille.

Fort de son expérience terrain et de ses Recherches, il vient de publier un ouvrage « Quinquas : Votre carrière après 50 ans »

RH-Seniors :

Votre livre était dans les tiroirs depuis 4 ans, comment expliquez-vous la lenteur avec laquelle la prise de conscience des acteurs économiques se fait concernant les mutations et évolutions de notre société et de ses modes de fonctionnement ?

Gérard LELARGE :

Deux raisons expliquent, à mon sens, la myopie d'un grand nombre de décideurs. D'abord l'espoir que le pire n'est pas certain ; ce qui conduit à opter pour la politique de l'autruche. Ensuite l'absence de vision prospective : dans le domaine des ressources humaines plus que dans d'autres domaines, les politiques sont en majorité à court terme.

La question de l'allongement de la vie professionnelle est pourtant essentielle et devrait à ce titre susciter des actions concrètes. En 2010, 1 actif sur 4 aura plus de 50 ans, contre 1 sur 8 en 1995 ; soit un doublement de la part des seniors dans les entreprises.

Or combien d'entre elles essaient de se projeter à quelques années pour anticiper les évolutions démographiques, technologiques, comportementales ? Combien d'entreprises optent pour la gestion prévisionnelle de leurs ressources humaines ? Très peu… alors que toute gestion RH devrait, par nature, intégrer cette réflexion à moyen terme ; alors qu'une démarche prospective bien menée peut être source de meilleur positionnement dans le futur.

D'où cette citation de Pasteur  notée en exergue de mon livre : « le hasard ne favorise que les esprits préparés », citation dont chacun, entreprise comme individu, devrait s'inspirer.

RH-Seniors :

Nous avons vécu comme un traumatisme les mesures d'âge prises dans les années 80 et comme un acquis social ces mêmes mesures dans les années 90, aujourd'hui quelles vont être les réactions des jeunes Seniors à qui l'on va demander de s'inscrire concrètement dans une fin de carrière plus longue ?

Gérard LELARGE :

En général, la première réaction est celle de la déception : nombre de quinquas espéraient profiter d'un départ anticipé (préretraite ou autre « mesure d'âge ») comme ont pu le faire encore récemment leurs voisins de bureau ou d'atelier. Au-delà de cette première réaction il est essentiel de se ressaisir et de continuer d'être -ou pour certains quinquas de redevenir- dynamiques, motivés, ambitieux. Un des objectifs de ce livre est de les y aider.

En la matière les actions conseillées aux quinquas sont claires : recenser leurs atouts et reprendre confiance en soi ; faire connaître leurs attentes et les légitimer grâce à des performances de bon niveau -c'est-à-dire aussi élevées que celles des plus jeunes- ; continuer d'avoir envie et de prendre du plaisir à remplir les missions confiées ; identifier des pistes d'orientation adaptées à chacun selon son passé professionnel, ses motivations, ses aptitudes et ses compétences.

RH-Seniors :

Il est maintenant clairement avéré qu'un Senior entre 50 et 65 ans n'est pas moins opérationnel qu'un collègue plus jeune, même si les rythmes et les valeurs de l'individu évoluent au fil du temps et des expériences. Que répondez-vous à ceux encore nombreux qui pensent que les quinquas ont du mal à s'adapter ou à se former ?

Gérard LELARGE :

Sans vouloir rejeter sur l'entreprise la responsabilité de ce qu'elle dénonce souvent, il faut reconnaître que les difficultés d'adaptation de certains quinquas (nouveau métier, nouvel environnement, nouvelle organisation…) et parfois leur peu d'enthousiasme à se former sont en partie liés aux politiques RH mises en œuvre à leur égard. « L'entreprise a les vieux qu'elle mérite » entend-on dire souvent dans une formule certes choquante dans la forme mais exacte dans le fonds. En effet, la faible mobilité professionnelle et la diminution des actions de formation en faveur des plus âgés ne peuvent qu'aggraver l'immobilisme que beaucoup se plaisent à mettre en avant : les conditions du cercle vicieux sont en effet réunies.

Brisons ce cercle (assurons aux quinquas mobilité et formation) ; engageons-nous dans une spirale ascendante : tel devrait être le leitmotiv des entreprises, dont l'intérêt est bien évidemment de re-motiver ceux dont le dynamisme s'est émoussé sous l'effet de politiques RH favorisant les plus jeunes.

RH-Seniors :

La grande question du jour reste quand même de savoir si les entreprises sont toutes conscientes du papy boom et si elles s'y préparent. La réflexion des Dirigeants et des DRH est-elle réellement amorcée aujourd'hui ?

Gérard LELARGE :

Hélas non. Si aujourd'hui les entreprises sont plus nombreuses qu'il y deux ou trois ans à considérer l'évolution démographique comme une préoccupation majeure en liaison avec les départs des papy boomers, la plupart continuent de privilégier les solutions court terme. Rappelons qu'une étude de la CEGOS de février dernier, réalisée auprès de 300 DRH et cadres d'entreprise montre par exemple que peu de sociétés s'interrogent sur les transferts de compétences ou cherchent à identifier les potentiels susceptibles de remplacer les managers âgés.

De même, en matière d'allongement de la vie professionnelle, peu d'entreprises ont défini des politiques spécifiques à l'égard des quinquas. L'absence de vison stratégique de beaucoup de sociétés est inquiétante face à l'évidente nécessité de maintenir les compétences et la motivation de tous. Seules quelques grandes entreprises se démarquent à cet égard ; citons par exemple Air France, Peugeot, Renault, le Crédit Lyonnais, les Caisses régionales du Crédit Agricole, Thalès, Michelin. Les PME sont elles aussi en retard mais il est vrai qu'elles bénéficient de plus de flexibilité pour régler les situations au cas par cas.

RH-Seniors :

Nous savons aujourd'hui que des entreprises vont choisir de résoudre leurs problèmes de sur effectif dans certains Services en laissant partir les Seniors sans les remplacer. En même temps n'est-ce pas un peu dangereux pour les entreprises de ne pas accompagner le mouvement, par exemple sans prendre la peine de vérifier que des savoir-faire sont peut-être amenés à disparaître ?

Gérard LELARGE :

Le premier point que vous soulevez est important et à mon sens trop peu connu. Il est clair, contrairement à ce qu'espèrent notamment les plus jeunes, que tous les départs en retraite ne seront pas compensés par des embauches, les entreprises réalisant à cette occasion des gains de productivité. Selon l'étude de la CEGOS que je citais précédemment, près des trois quarts des entreprises excluent de recruter de nouveaux salariés et comptent privilégier les promotions internes.

Le deuxième point, celui du transfert des compétences entre les seniors et les plus jeunes, n'est pas toujours bien traité, faute là encore d'être bien compris. Si l'importance de la question éclate de façon ponctuelle (quand telle ou telle entreprise est obligée de rappeler ses retraités ou préretraités pour résoudre un problème spécifique : cas des programmeurs Cobol lors du passage à l'an 2000 !) le knowledge management (moins pratiqué qu'on l'imagine) et le tutorat (qui ne peut être mis en place que sous certaines conditions) ne sont qu'une partie des actions à engager, le transfert des savoirs, des savoirs-faire et des bonnes pratiques devant être permanent.

RH-Seniors :

Nous parlions de savoir-faire, en même temps que pensez-vous de la mise en opposition permanente du dynamisme des juniors et de l'expérience des Seniors, n'est-ce pas du simple bon sens que de faire appel sur certains postes aux uns plutôt qu'aux autres et inversement ?

Gérard LELARGE :

Au-delà du fait que toute systématisation est dangereuse puisque source de stéréotypes et d'idées fausses (pas plus que toutes les Anglaises sont rousses, tous les jeunes ne sont pas dynamiques…) seules une analyse objective des compétences et des performances, ainsi que la prise en compte des attentes de chacun, différentes selon l'âge, doivent guider les actions RH.

Cela sans mener à l'égard des quinquas une quelconque politique de discrimination positive, à mes yeux aussi condamnable que le jeunisme dont ils ont tant souffert, voire souffrent encore.

RH-Seniors :

Nous avons une chance extraordinaire qui est de vivre une mutation totale de notre Société et de devoir inventer de nouvelles organisations pour nos entreprises. En même temps, nous devons avoir une nouvelle approche de notre vie après 50 ans, ce que nous appelons chez RH-Seniors « le concept de 3ème vie »

Quel est votre avis sur le sujet ?

Gérard LELARGE :

C'est un concept que je partage tout à fait. Il est logique que les aspirations et les centres d'intérêt de chacun évoluent au cours du temps. La pression de la carrière peut devenir moins forte et de nouvelles aspirations prennent plus d'importance. Penser plus à soi et à sa famille qu'au tableau de bord des ventes ou au niveau de la trésorerie apparaît naturel. Comme je l'écris dans le livre : « comment résister au sourire d'une blondinette bouclée qui se jette dans vos bras en criant « papi » ?

RH-Seniors :

Votre livre, dont nous rappelons le titre : « Quinquas : votre carrière après 50 ans, paru chez Dunod, dans la collection Efficacité professionnelle, a ceci d'intéressant qu'il s'adresse avec beaucoup d'optimisme aussi bien aux entreprises pour faire émerger des axes de réflexion qu'aux salariés qui peuvent entrevoir de nouvelles perspectives passé 50 ans.

Qu'avez-vous encore envie de dire aux uns et aux autres lorsqu'ils auront fini de lire votre ouvrage ?

Gérard LELARGE :

J'ai tout simplement envie de dire aux quinquas : « Ne cédez pas au fatalisme et au découragement. Vous avez dans le passé  montré votre potentiel de performances ; continuez de le faire ».

J'ai envie de dire aux entreprises : « Méfiez-vous des stéréotypes ; jugez et gérez avec objectivité. Vous constaterez alors combien les actions papycides du passé ont pu être synonymes de gaspillages de ressources, de talents et de richesses ».



R&D ExpressionCoaching <RD-emploi@expression-coaching.com> wrote:

à moins que les gens qui se dirigent vers le coaching aient bien souvent utilisés d'autres techniques auparavant ? c'est fréquent. En tout cas cela permet d'utiliser plus facilement ce genre d'outils qui courcircuitent le mental et donc sont plus efficaces.

imaginer une situation (ici rencontrer une personne connue dans la rue, partir en vacances avec des amis) avec le déroulement que l'on souhaite et le répéter te rendra plus confiante lorsque la situation se produira réellement. Le comportement que tu désires avoir en pareille situation, viendra alors naturellement.

Les grands sportifs refont dans leur tête inlassablement leur parcours en visualisant de façon détaillée tous leur gestes, toutes leurs actions, le moment où ils vaincront... Cela fait partie de l' entraînement de ceux qui gagnent.

Je rajouterai que pour amplifier une sensation positive concernant cette rencontre ou ce séjour, tu peux t'imaginer évoluer dans un film où se trouvent tous les personnages qui vont t'accompagner. Ensuite agrandis dans ta tête l'image et rapproche la de toi; intensifie les couleurs, la brillance et la clarté. Entends ce qui se passe plus fort, comme si cela était plus près de toi.

cet été, sur le forum nous avons fait le Questionnaire de Bernard Pivot. Que j'ai aimé, et qui a été apprécié vu le nombre de réponses :

1- Votre mot préféré:

synergie
2- Le mot que vous aimez le moins:

malaise
3- Quel son aimez-vous le plus?

l'eau - le ré majeur
4- Quel bruit aimez-vous le moins?

les sirènes d'alarme
5- Qu'est-ce qui vous attire?

l'amitié, le design, la nouveauté
6- Qu'est-ce qui vous repousse?

la fourberie, l'insistance, l'irrespect
7- Votre juron préféré:

putain ! bordel ! et Foi de Cap
8- Si vous pouviez choisir, quel métier feriez-vous?

Publiciste : planneur stratégique
- Chercheur : épistémologue en sciences sociales, consultant (comme Cathelat par exemple)

9- Quel métier ne voudriez-vous absolument pas faire?

le travail à la chaîne
10- Si le ciel existe, qu'aimeriez-vous que Dieu vous dise en arrivant au paradis?

Bonjour

Bonjour à tous,

Voilà un exemple de valeurs d'entreprise ou d'organisation :

« Les valeurs fondamentales sont les principes et les convictions qui sous-tendent l'action de l'Organisation et règlent la conduite de son personnel. L'intégrité, le professionnalisme et le respect de la diversité ont été retenus à ce titre. Ils s'accordent avec la Charte des Nations Unies ainsi qu'avec les dispositions du chapitre premier du Statut du personnel. »

source : Nations Unies : Compétences pour l'avenir

Bibliographie:

  • Ce week end, j'ai lu avec amusement et plaisir "Qui a piqué mon Fromage" de Spencer Johnson . Je vous en conseille vivement la lecture (1h à 1h30 grand maximum).C'est une métaphore sur le changement qui est excellente même si les commentaires très américains semblent un peu infantilisants   (mais vous n'êtes pas obligés de les lire

  • Quinquas : votre carrière après 50 ans, éditions Dunod 2004, 19,50€

Bonjour,

Avant d'utiliser les fiches outils de la semaine j'ai d'abord essayer d'évacuer ce noeud à l'estomac que j'avais depuis la semaine dernière.

Marie-Marthe j'ai donc utilisé l'outil que tu m'as conseillé.

Cet outil est disponible à tous dans la page réservé aux abonnés et s'appelle :

Évacuer une émotion désagréable qui se matérialise physiquement

Je n'ai pas eu de problème pour localiser cette "boule de feu", je l'ai sortie de mon corps, plongée dans l'eau froide, transformée en sucrerie ( eh oui, je suis gourmand ).

J'ai beaucoup atténué cette crispation, je n'ai toutefois pas réussi à la faire disparaître totalement.

J'ai probablement changé la sensation corporelle mais ne faudrait-il pas aller plus loin dans la démarche et chercher ce qui a provoqué cette émotion?

Est-ce qu'il faut s'arrêter à la simple modification de sensation corporelle ou bien faut-il creuser un peu plus?

Personnellement je pense que je vais travailler sur ce qui a provoqué cette émotion et qui a resurgi lors du test de mise à jour des croyances sur les changements liés à l'emploi.

Ce test m'a ramené au bilan de compétences effectué en 2004 et m'a rappelé que j'avais 57 ans et peu de chances de retrouver une activité salarié.
Si après avoir lu le début du mail tu as toujours cette sensation, alors tu peux essayer de te relaxer . Ensuite essaye de contacter la partie de toi même qui provoque cette sensation et de lui demander quel message elle souhaite te délivrer. il se peut effectivement qu'elle te dise son angoisse de devoir arrêter une activité salariée, mais peut être a t-elle un autre message ou tout simplement des indications supplémentaires.

Il se peut aussi que ce soit ton système de protection qui tire à sa façon la sonnette d'alarme. Demande lui alors de quoi il souhaite te protéger et voit si cela est justifié ou non. Explique lui ce qui te met véritablement en danger et passe un contrat avec lui (du type préviens quand je suis vraiment en danger et je t'écouterais)

Concernant les autres outils,

Évaluer son bien être

J'ai bien aimé le travail d'étalonnage de mon bien être.

J'ai bien identifié un symbole de "ressource" avec un bien être de niveau 10 ( et même plus ! ). Je l'ai utilisé et c'est vraiment superbe ( dans ces moments là ma crispation de l'estomac disparaît )

En écrivant ces quelques mots je me rends compte que ce symbole de bien être est dans mon passé... alors que j'ai le sentiment que je travaille sur mon futur !  Est-ce bien normal?
l'avantage de cet outil est de pouvoir transposer le bien être passé dans le présent...il faut donc s'en servir aussi souvent que nécessaire! Lorsque nous allons travailler sur la vision nous allons travailler de fait dans le futur, peut être cela t'aidera t-il à l'envisager avec plus de décontraction.

Voir plus clair après une grande émotion

J'ai bien ri en faisant cette analyse de situation vue par 3 personnes différentes.

Je me suis enregistré et j'ai réécouté les enregistrements en modifiant un peu les vitesses et les sonorités. J'ai vraiment l'impression d'écouter des personnes différentes!

J'ai trouvé important l'idée de changer de chaises, je suis allé un peu plus loin en changeant totalement de lieu.

Je pense percevoir le(s) changement(s) à effectuer par rapport à ma vision de ma situation, mais comme me l'a dit mon amie, "tu n'es pas obligé d'aller vite"
Parfait! ;-) Rien à rajouter... changer de place (en fait "d'énergie" diraient les spécialistes) est effectivement important.

Message de bienvenue

Concernant le nom du programme, ce qui me gène un peu c'est la notion de "retour" dans le cadre de la gestion de carrière. "Retour" implique que l'on soit parti. Or j'attends du coatching qui m'aide à MIEUX prendre en main mon évolution professionnelle, sans pour autant avoir l'impression d'avoir perdu du terrain jusqu'à présent . Stagner peut-être, régresser (ce que j'assimile à être "parti") je ne pense pas.

Je dois donner l'impression d'ergoter sur les mots. En fait ma remarque veut surtout dire que sur le seul titre du programme, je ne me serais jamais sentie concernée. Les alternatives auxquelles j'ai pensé ne me satisfont pas du tout : "maîtrise de son emploi", "dynamique d'emploi", "dynamique de carrière"... C'est donc que ce doit être la meilleure formulation.

Retour module 1 - semaine 1

Sur le fond, je n'ai pas de remarque particulière. Plutôt des impressions : l'envie de participer, le sentiment que ça répond à une attente, ça rassure, ça donne confiance.

Le § sur l'accompagnement du changement est excellent.

La différence entre coatch et psychothérapeute ne me paraît pas forcément évidente.

Globalement cette définition des règles du jeu, avec ce qu'on peut en attendre et ses limites me paraît claire. Le style est agréable à lire.

Sur la forme, mes remarques ont déjà été faites par d'autres, sauf peut-être que le § sur la balade intellectuelle n'est pas justifié comme les autres §.

Réponses module 1 - semaine 1

J'attends du coatching dans un premier temps qu'il m'aide à définir mon poste d'une part et mon objectif de carrière d'autre part. Puis qu'il m'aide à définir comment je peux faire pour y arriver.

A chaque fois que je veux donner un titre à mon emploi, je me heurte à un vide car je ne trouve jamais le terme qui couvre toute la pallette de mes activités ou alors je suis trop vague et trop large. Je ne suis ni tout à fait chef de projet, ni tout à fait consultante. Simplement dire que je travaille dans l'informatique ne définit pas grand chose.

Par ailleurs, je suis intéressée par beaucoup trop de choses pour arriver à me dire : voilà ce que je veux faire précisément.

En plus synthétique, j'aimerais savoir où j'en suis et où je vais professionnellement parlant, sachant qu'il y a forcément une dépendance avec ma vie privée.

Si tout était possible je demanderais à mon coatch de m'amener à une vie plus équilibrée entre professionnel et personnel, ce qui bien sûr rejaillirait sur les deux aspects. Je serais alors assez sereine pour accuser les coups durs avec recul et profiter intensément des joies de la vie.

Le marché des Seniors : http://www.lemarchedesseniors.com

http://www.coach.biz/LifeCycle.htm

Dialogue entre Peter Senge et Peter Drucker : http://www.enap.uquebec.ca/documents-pdf/carnetsleadership/carnets_vol1no1_12janv04.pdf

Test de comportement : énnéagramme : http://www.enneagraminstitute.com/dis_sample_36.asp?discover

Visuel auditif kinesthésique : http://www.vakpnl.com/

Mindmapping : http://www.petillant.com/

Mindmapping logiciel gratuit : http://freemind.sourceforge.net/wiki/index.php/Main_Page

Clean coaching : http://innovativepathways.online.fr

Performances / the best kept secret / liens 'competencies  : http://www.andros.org/intouch/SiT_0602_SelectBest_competencies.pdf, http://www.andros.org/intouch/index.html

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